Il prend plaisir à la miséricorde
“Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie ; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice” (Hébreux 12:11).
“Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie ; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice” (Hébreux 12:11).
Nous ne voyons pas souvent l’Apocalypse comme un livre encourageant, mais lis un peu avec moi cette incroyable introduction : “Que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre !
Refuser de se repentir dans les domaines que Dieu nous montre n’est jamais bon. La plupart d’entre nous sera d’accord là-dessus. Mais je crois que beaucoup de croyants pensent que ce n’est pas un problème de penser à la repentance avant de se soumettre réellement à la conviction du Saint-Esprit. Ce que nous faisons, en réalité, c’est reporter notre repentance et, si cela peut avoir une apparence spirituelle, c’est surtout un poison pour notre relation avec Dieu aussi certain que le fait de refuser de nous détourner de notre péché.
Paul remerciait Dieu pour le peuple qui reste fidèle dans les temps difficiles. Ce saint Reste se lèvera contre l’esprit de l’antichrist et restera fort. Il ne sera jamais vaincu. Au contraire, il vaincra le monde, la chair et le diable.
Le premier aspect de la “double peine” de Dieu, c’est quand nous péchons dans Sa présence, contre Sa lumière et Son amour. Le péché en lui-même n’est pas ce qui attriste Dieu, mais c’est plutôt parce qu’Il connaît la conséquence de notre péché. Dieu sait que notre péché va nous conduire dans le malheur.
“L’Éternel dit à Moïse : Va, descends ; car ton peuple, que tu as fait sortir du pays d’Égypte, s’est corrompu… ils se sont fait un veau en fonte, ils se sont prosternés devant lui, ils lui ont offert des sacrifices... Je vois que ce peuple est un peuple au cou raide. Maintenant laisse-moi ; ma colère va s’enflammer contre eux, et je les consumerai” (Exode 32:7-10).
Quand Paul a commencé à enseigner la vérité de la justification par la foi, cela a ébranlé l’Église. C’était une nouvelle incroyable, à l’époque. Et même, certains théologiens ont répondu : “Si je suis pardonné, si Dieu est si miséricordieux qu’Il me pardonne librement simplement à cause de ma foi, alors je peux pécher davantage, pour que Dieu puisse se réjouir de m’accorder plus de grâce !” Ces théologiens ne comprenaient pas l’évangile.
Jésus a dit à l’église de Laodicée : “Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant ! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien” (Apocalypse 3:15-17). cette dernière partie est certainement la chose la plus tragique que quelqu’un puisse dire à Dieu.
Personne n’aime les mauvaises nouvelles. Parfois, nous sommes là, à vaquer à nos occupations quotidiennes et, en un instant, toute notre vie peut basculer. Un appel, un accident de voiture, une lettre de licenciement ou n’importe quoi d’autre peut venir bouleverser notre vie. Notre vie peut même être changée par autre chose qu’un événement catastrophique.
Quand nous avons cru pour la première fois en Christ, nous avons cru que nos péchés étaient pardonnés. Nous avons cru que nous étions acceptés, que nous pouvons abandonner toute crainte et toute culpabilité et dire : “Je suis sauvé uniquement par la foi en ce que Jésus a fait pour moi à la croix.”