“Poussez vers l’Éternel des cris de joie, vous tous, habitants de la terre ! Servez l’Éternel, avec joie” (Psaumes 100:1-2).
“Mais les justes se réjouissent, ils triomphent devant Dieu, ils ont des transports d’allégresse” (Psaumes 68:3).
“Alors tous ceux qui se confient en toi se réjouiront, ils auront de l’allégresse à toujours, et tu les protégeras ; Tu seras un sujet de joie pour ceux qui aiment ton nom” (Psaumes 5:11).
Dieu est sérieux quand Il dit qu’Il veut que Ses enfants Le servent avec joie et allégresse – qui sont les résultats d’une vérité fondamentale : nous sommes sous Ses ailes protectrices ! Il ne veut pas que nous soyons défaits et abattus, que nous vivions comme les inconvertis.
La Bible regorge d’histoires glorieuses de ces personnes qui gardent leur joie dans les épreuves – même quand tous les autres ont abandonné. Par exemple : quand Israël a murmuré et s’est plaint, sauf deux hommes de Dieu, Josué et Caleb. Ils n’ont jamais vacillé dans leur foi et leur joie, même si ceux qui les entouraient avaient abandonné et vivaient dans le désespoir et la défaite (voir Nombres 13).
Un autre exemple : trois jeunes hébreux Schadrac, Méschac et Abed-Nego sautaient de joie lorsqu’ils disaient : “Nous servirons notre Dieu avec confiance et allégresse.” Ils se réjouissaient dans le Seigneur, ferme dans leur foi, lorsqu’ils ont été délivrés miraculeusement de la fournaise ardente (voir Daniel 3).
L’apôtre Paul a dit : “Je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations” (2 Corinthiens 7:4). Une confiance totale en Dieu produit de la joie. Même aujourd’hui, le Seigneur possède un peuple qui ne pliera pas. Ils lèvent la tête dans toutes leurs épreuves et glorifient le Seigneur. Ils brillent comme de beaux exemples du fait que la joie de l’Éternel est possible dans toutes les épreuves.
Si ton cœur est juste devant Dieu, tu as tous les droits de te réjouir et d’être joyeux ! Encore et encore, Dieu dit clairement qu’Il désire se réjouir dans Ses enfants. Souviens-toi : “La joie de l’Éternel sera votre force” (Néhémie 8:10).